M« C’est un désordre qui a émergé, comme on l’a vu là, mais ce n’est pas nous qui sommes à l’origine de ce désordre. Au contraire, nous avons essayé par tous les moyens de répandre les choses et d’appeler la police. Il y a des gens qui sont arrêtés en ce moment . Il y a des gens qui sont arrêtés, il y a des machines qui sont en sécurité avec l’intervention de l’armée parfois. J’ai fait intervenir l’armée à Kisangani par exemple, donc, nous n’avons pas croisé les bras. Le désordre à certains endroits a eu lieu, mais ce n’est pas avec la bénédiction de la Céni, c’est cela aussi qu’il faut retenir. C’est ça notre société . Chaque fois qu’on me demandait : “Est-ce que vous allez organiser de bonnes élections ?” J’ai toujours dit, cette question ne peut pas être posée à la seule Céni, on doit la poser à tout le monde parce que nous, nous nous occupons de la gestion électorale. Il y en a qui s’occupent de la sécurisation, d’autres s’occupent du financement. Et puis la société aussi a un rôle à jouer », dit le président de la CENI
Une commission d’enquête a été mise en place au sein de la Céni. Plusieurs options sont actuellement sur la table, dont l’annulation des résultats de certains centres de vote.
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